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Chikungunya: la lutte s’organise

moustique © DR

Le premier cas de Chikungunya a été diagnostiqué ce mercredi en Polynésie française. Face à la menace d’une possible épidémie, les autorités sanitaires du Pays assurent avoir réagi à temps pour minimiser les risques.

Glenda Melix, chef du Centre d’hygiène et de salubrité publique, assure que la patiente a été prise en charge rapidement ce qui a permis de mettre en place les traitements préventifs dans les zones fréquentées par la patiente.

Une procédure qui s’est mise en place rapidement. L’expérience tirée de la récente flambée épidémique du Zika semble jouer en la faveur des autorités sanitaires.

La direction de la santé souhaite donc rassurer la population : il y a peut-être une chance d’éradiquer la maladie avant qu’elle ne se propage. Leur stratégie est simple : éradiquer le vecteur, les moustiques, dans un délai de 7 jours, ce qui passe par le traitement des zones concernées à la deltamétrine.

En attendant, la Direction de la santé appel tous les habitants à faire très attention aux moustiques,  à se protéger de leurs piqures et en détruisant leurs gites.

Zones de pulvérisation à la deltamétrine: Pirae zone Pirae Pirae-Arue –zone Pirae Arue Mahina zone Mahina

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2 Commentaires

  1. 2 juin 2014 à 20h22 — Répondre

    moind de moustiques aujourd'hui, plus de cancers demain, vive les pulvérisations!

  2. tupai
    2 juin 2014 à 10h45 — Répondre

    après avoir complètement raté la dengue, le pays tente de se racheter avec célérité sur la chikungunya… sauf qu’il s’agit d’une personne arrivée par avion et déjà malade depuis son pays d’origine. Alors l’épidémie, il n’y en n’a pas, sauf si le malade a emporté avec lui quelques moustiques… laissez moi sourire

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