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Don d’organe: l’important c’est d’en parler

Don01La greffe rénale est maintenant une réalité en Polynésie française. Si les premiers dons sont issus de donneurs vivants, la législation permet également le prélèvement sur des personnes en état de mort encéphalique. Donneur, ou pas, le débat est lancé, l’important c’est d’en parler.

Et pour que l’information soit la plus claire possible, une campagne de sensibilisation et de communication sur le don d’organes a débuté ce mardi. Car il va falloir communiquer.

Parler du don d‘organes, c ‘est parler de la mort, un sujet que beaucoup d’entre nous évitent d’évoquer.

Donneur ou pas, le choix est personnel mais il doit être connu de vos proches. L’important c’est d’en parler comme nous l’expliquait la ministre de la santé. Béatrice Chansin était ce mardi l’invitée de notre édition de la mi-journée.

 

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1 Commentaire

  1. 20 novembre 2013 à 19h23 — Répondre

    Même si cela n'est pas encore rentré dans nos moeurs, je suis favorable pour le don d'organes. Aimer c'est Donner, et le polynésien est un peuple généreux! ceci dit, c'est à chaque individu en son âme et conscience, de prendre ses dispositions face à ce DON.

  2. elise
    20 novembre 2013 à 20h58 — Répondre

    ou peut on s’inscrire car je n’ai pas de famille sur place et en cas de mort cérébrale je souhaite offrir les organes qui peuvent sauver des vies

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