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Fritch invite la quatrième commission de l’ONU en Polynésie

© ONU

Mardi à New York, le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a invité la quatrième commission en charge des questions de décolonisation de l’ONU à se rendre en Polynésie pour « vous rendre compte par vous même de la qualité de la bonne coopération entre (la Polynésie) et l’Etat français ».

Le président Edouard Fritch a lancé, mardi à New York devant la quatrième commission des Nations Unies en charge des questions de décolonisation, une invitation à la commission à se rendre en Polynésie française. Edouard Fritch a indiqué à la commission qu’elle « manquait d’informations objectives » et que nécessairement elle « douterait de ses propos » sur la pleine autonomie de la Polynésie française.

« Je vous invite donc à vous rendre en Polynésie pour constater par vous même de la réalité de mes propositions », a indiqué le président polynésien, « pour vous rendre compte par vous-même de la qualité de la bonne coopération avec l’Etat français ».

Edouard Fritch a également insisté lors de son intervention sur les résultat des dernières élections territoriales de mai 2018, lors desquelles une délégation du Forum des îles du Pacifique a « fait le constat que le processus électoral ne souffre d’aucune remarque ni réserve ».

Edouard Fritch a rappelé avoir remporté les élections avec 49,2% des voix. Il a affirmé que dans le même temps le parti indépendantiste avait perdu des voix, alors même qu’il « a fait campagne sur le thème de la réinscription de la Polynésie française » sur la liste des Pays non autonome de l’ONU.

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2 Commentaires

  1. NUNAA PARAU
    9 octobre 2018 à 10h47 — Répondre

    C’est avec elle qu’il défend ce dossier?…mon dieu on n’est pas sortit de l’auberge. Et oui venez voir comment le statut d’autonomie à permis l’émergence d’une caste et à favoriser la pauvreté d’un grand nombre. Venez voir comment la démocratie est organisée par les partis politiques. Venez voir cette belle île qui se meurt à cause des élus. Sinon, on est bien comme ça car les oies se gavent toujours autant pour le bien être de tous, paraît-il.

    • vetea
      10 octobre 2018 à 9h52 — Répondre

      rien à ajouter dans ton analyse….excellent

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