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La CSTP-FO de retour à la table des discussions

A l’occasion de la fête du travail, lundi 1er mai, le président Edouard Fritch a convié l’ensemble des confédérations syndicales à dialoguer avec son gouvernement. Une nouvelle fois, la CSIP, O oe to oe rima et Otahi ont boudé la rencontre. Mais la puissante CSTP-FO a accepté cette année de venir rencontrer le gouvernement.

Trois organisations syndicales ont accepté cette année l’invitation du président Edouard Fritch à l’occasion de la fête du travail. Comme l’année dernière, A Ti’a i Mua et le Stip-AEP ont répondu favorablement. Comme l’année dernière la CSIP, O oe to oe Rima et Otahi ont boudé la rencontre, prétextant notamment la nomination « imposée » d’Yvonnick Raffin à la direction de la CPS. Mais le changement cette année, c’est que la première confédération syndicale de Polynésie, la CSTP-FO, est venue à la rencontre du gouvernement. Dans un communiqué, la présidence indique que la confédération a « évoqué des économies possibles sur le financement de l’assurance santé », « proposé une évolution de la rémunération des heures supplémentaires pour favoriser la consommation » et « fait part de son souhait de mise en place d’une allocation formation pour les demandeurs d’emploi ». Or depuis plus d’un an, l’intersyndicale CSTP-FO, CSIP, Otahi et O oe to oe Rima parle d’une seule voix lorsqu’il s’agit, notamment, de la réforme de la protection sociale généralisée (PSG). Au moment où le gouvernement distille ses premières mesures pour réformer la PSG, ce retour de la CSTP-FO à la table des discussions n’a donc rien d’anecdotique.

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