© Cédric Valax

Presque deux mois après le scandale des bonbonnes du Kura Ora 2, la Fédération des associations de protection de l’environnement réclame « plus de contrôle » et une « meilleure utilisation » de la Taxe pour l’environnement, l’agriculture et la pêche.

La Fédération des associations de protection de l’environnement a réagi par communiqué, mercredi 6 mars, à l’affaire des bonbonnes du Kura Ora 2. Presque deux mois après les faits et une semaine après la révélation des détails de l’enquête du parquet, la Fape-Te Ora Naho a fait part de sa « stupeur ». Elle réclame des « éclaircissements sur la non-toxicité » du bromure de méthyle. La Fape souhaite un meilleur contrôle des procédures de respect du code de l’environnement. Winiki Sage, le président de la Fape – Te Ora Naho.

La Fape souligne notamment que le Pays perçoit tous les ans une recette par la Taxe pour l’environnement, l’agriculture et la pêche, la TEAP, « qui avoisinerait les 2,5 milliards de Fcfp ». La Fape réclame une meilleure utilisation de cette taxe par le Pays au profit du traitement des déchets et du développement de l’agriculture locale.

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