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Privée de Billabong, la WSL demande de l’aide au Pays

Lundi, le représentant de la World Surf League, Graham Stapelberg, a fait part au président Edouard Fritch de son désir de mettre en place un partenariat avec le Pays pour l’organisation de la Tahiti Pro Teahupo’o. La présidence n’est pas contre mais a demandé des détails sur ce « soutien logistique ».

Après le départ de la marque Billabong en novembre 2017, l’épreuve tahitienne du circuit mondial de surf n’est plus sponsorisée. Ainsi cette année, la compétition s’appelle la Tahiti Pro Teahupo’o. Mais il semble que la World Surf League (WSL) soit à la recherche d’un nouveau soutien pour l’organisation de cet évènement. Lundi après-midi, le représentant de la WSL, Graham Stapelberg, a rencontré le président du Pays, Edouard Fritch, pour « étudier les modalités d’un partenariat ». La ligue de surf souhaiterait obtenir un soutien logistique du pays.

Le président du Pays n’a pas rejeté la proposition mais a demandé des détails. Egalement présent lors de la rencontre, le président de la fédération tahitienne de surf, Lionel Teihotu, a indiqué que la compétition rapportait chaque année 100 millions de Fcfp à l’économie de Tahiti.

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