POLITIQUE Hollande : « L’État ne paie pas de rançons » Vaite Urarii Pambrun 2014-04-20 20 Avr 2014 Vaite Urarii Pambrun © DR © DR MISE AU POINT – Le chef de l’Etat a insisté sur le rôle de la négociation et le soutien de tous les Français. La mise au point. « Gravité et émotion » : voilà pour les premiers mots de François Hollande au micro d’Europe 1 après avoir accueilli les quatre journalistes libérés en Syrie dimanche matin à leur retour sur le sol français. Le président de la République a tenu à préciser que, dans le cadre de cette libération, l’État français n’a pas payé de rançon. « L’État ne paie pas de rançons. C’est un principe très important pour que les preneurs d’otages ne soient pas tentés d’en ravir d’autres », a répété François Hollande. Avant d’insister sur le rôle de la négociation et le travail des services de l’Etat dans de telles situations : « On a la chance d’être français, ça veut dire être soutenu par tout le pays, toute la presse et des Français anonymes ». Sur le dossier des armes chimiques. Le président français François Hollande a déclaré dimanche avoir « quelques éléments » sur l’utilisation d’armes chimiques actuellement en Syrie, mais ne pas disposer de « preuves ». « Nous avons encore quelques éléments mais je n’ai pas les preuves donc je ne peux pas ici les donner », a répondu François Hollande alors qu’on lui demandait s’il était vrai que le président syrien Bachar al-Assad utilisait encore maintenant des armes chimiques. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)