ACTUS LOCALESÉDUCATION

Intégrer davantage les polynésiens dans les échanges universitaires

Michel Leboucher © Cédric VALAX

Michel Leboucher © Cédric VALAX

Telle est la volonté du ministre de l’Éducation, Michel Leboucher qui a rencontré jeudi dernier à Bordeaux, le directeur adjoint de l’agence Europe Education Formation France (A2E2F), Sébastien Thierry.

Les discussions ont porté sur la politique éducative du Pays, et les objectifs visés par la collectivité à travers les dispositifs d’échanges scolaires proposés par l’établissement, mandaté par la Commission européenne.

A partir de l’année prochaine, l’ensemble des programmes Comenius, Erasmus ou encore Leonardo Da Vinci seront regroupés sous un seul dispositif baptisé Erasmus +.

Un dispositif que nous présente Marie-Pierre Chalimbaud, directrice du département Développement de l’A2E2F.

 

Le souhait du ministre est “de permettre à un plus grand nombre de jeunes Polynésiens de bénéficier de ces échanges. Cela provoque bien souvent un déclic chez l’élève” a-t-il déclaré. Il est vrai que 10% des jeunes sur le territoire accèdent à niveau d’étude supérieur ou égal à la licence, contre 40% en métropole.

Michel Leboucher a également profité de sa visite à Bordeaux pour y rencontrer des étudiants polynésiens. Que s’est-il dit? Eléments de réponse avec Tamara Sentis.

Et puis autre point abordé: le décrochage scolaire. C’est “un objectif prioritaire” assure Michel Leboucher.

Article précedent

Comment mieux surveiller les espèces envahissantes?

Article suivant

Zyka : un nouveau virus au fenua

1 Commentaire

  1. Herearii Pellet
    3 novembre 2013 à 9h19 — Répondre

    Je pense qu'il aurait été plus intéressant d'organiser des échanges avec des pays voisins/cousins comme la NZ et promouvoir des secteurs tels que la recherche, etc. Il faudrait mettre également des classes de soutient/tutorat pour les élèves et les étudiants afin de faciliter leurs parcours. Partir en Europe est une bonne chose, mais avoir les moyens pour y (sur)vivre est également un autre soucie.

Laisser un commentaire

PARTAGER

Intégrer davantage les polynésiens dans les échanges universitaires