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Manohiva remporte la 12e édition du Hura Tapairu

Manohiva © Maison de la culture

Manohiva © Maison de la culture

C’est Manohiva de Iori Tuiho qui a remporté la 12e édition du Hura Tapairu. Manahau de Jean-Marie Biret et Tahiti Hura de Maheata Teavai remportent respectivement le deuxième et le troisième prix du concours.

La Maison de la culture organisait la 12e édition du Hura Tapairu qui s’est tenue du 24 novembre au 3 décembre. Les vainqueurs ont été annoncés samedi soir après la dernière soirée de concours. C’est Manohiva de Iori Tuiho qui remporte le premier prix Hura Tapairu. Manahau de Jean-Marie Biret se classe deuxième et Tahiti Hura de Maheata Teavai, troisième. Vingt-sept formations étaient en compétition cette année. Le concours s’est déroulé sur six soirées dont cinq à guichet fermé. Moana’ura Tehei’ura, chorégraphe et metteur en scène, présidait le jury.

Les résultats :

Prix Hura tapairu :

1er : MANOHIVA de Iori Tuiho

2ème : MANAHAU de Jean-Marie Biret

3ème : TAHITI HURA de Maheata Teavai

Prix Mehura :

1er : HIA’AI de Turia Temorere

2ème : MANOHIVA MEHURA de Iori Tuiho

3ème : HEI TAHITI VAHINE de Tiare Trompette

4ème : MANA ATUA de Rita Ahu

Catégorie ‘Aparima :

1er : MANAHAU de Jean-Marie Biret

2ème : MANOHIVA de Iori Tuiho

3ème : TAHITI HURA de Maheata Teavai

Catégorie ‘Ötea :

1er : MANOHIVA de Iori Tuiho

2ème : MANAHAU de Jean-Marie Biret

3ème : TAHITI HURA de Maheata Teavai

Catégorie Pahu Nui:

1er : TAHITI HURA de Maheata Teavai

2ème : AHUTUATEA de Tumata Vairaaroa

3ème : TUIHEITEMARAMA de Merehau Buchin

‘öte’a ‘äpipiti :

HEI TAHITI VAHINE – Taiana Mahinui et Nilda Taaviri

‘aparima ‘äpipiti :

TAHITI HURA – Ranitea Delion et Heitiare Manate

Prix spéciaux :

Heimanu Tehahe pour l’ensemble de son œuvre et son travail de formation auprès des jeunes musiciens. Et Piihau, qui remporte un prix spécial « espoir jeunesse ».

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1 Commentaire

  1. simone grand
    5 décembre 2016 à 8h15 — Répondre

    je croyais que c’était un concours réservé aux petits groupes n’ayant pas les moyens d’aller au Heiva.
    De toute façon, je ne vais plus au mal nommé Hura Tapairu parce que ça gueule trop dans la salle. il paraît que plus ça gueule plus le groupe aux supporters ou plutôt supportrices ayant éclaté les tympans du public, ont des chances de gagner. Pourtant, « tapairu » renvoie à la délicatesse plutôt féminine et insiste sur le côté aristocratique. Rien à voir avec la réalité actuelle.

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